Existe-t-il des analgésiques en vente libre (maux de tête) qui ne sont pas ototoxiques ? Pour une personne malentendante qui ne veut pas risquer d’aggraver sa perte auditive. Jusqu’à présent, l’Ibuprom ou l’Apap ordinaires ont aidé.
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Joanna Dunajska Pharmacien, Éditeur
5 mois il y a
Tous les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les salicylates et le paracétamol peuvent affecter l’audition et le labyrinthe, provoquant des acouphènes (ototoxicité auditive) et des étourdissements (ototoxicité vestibulaire). Les acouphènes ont été rapportés le moins fréquemment (avec une fréquence très rare, c’est-à-dire moins de 1 personne sur 10 000) avec le diclofénac et le dexkétoprofène.
Selon les connaissances actuellement disponibles, les symptômes ototoxiques lors de l’utilisation de salicylates et d’AINS apparaissent principalement à fortes doses de médicaments et prennent la forme d’une perte auditive bilatérale et symétrique transitoire et d’acouphènes. Le risque d’ototoxicité est augmenté par l’utilisation régulière d’analgésiques.
Dans le cas de troubles auditifs, il vaut la peine de consulter un spécialiste dans ce domaine (laryngologie) pour connaître la préparation la plus sûre pour le patient.
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